La culpabilité de l’entrepreneuse

La culpabilité de l’entrepreneuse

La culpabilité de l’entrepreneuse : comment arrêter de te mettre la pression (et respirer enfin)

La culpabilité. Selon Wikipédia :

La culpabilité est une émotion causée par la transgression d’une norme morale. Il s’agit d’une émotion proche du concept du remords.

La culpabilité. Tu la connais, pas vrai ?

Cette culpabilité qui te ronge chaque soir quand tu fermes ton ordinateur. Cette petite voix insidieuse qui te murmure que tu n’en fais jamais assez, que tu devrais bosser plus, publier plus, être plus visible. Celle qui te réveille à 3h du matin en te demandant si tu es vraiment légitime.

À commencer par comment arrêter de procrastiner. Tu t’inquiètes devant cette tâche qui te semble insurmontable ? Tu te dis « demain », « la semaine prochaine », « quand j’aurai le temps » ? La réalité, c’est que ce « demain » n’arrive jamais. Et pendant ce temps, la culpabilité s’installe, prend ses aises, et squatte ton cerveau.

Si tu es entrepreneuse, tu culpabilises de ne pas en faire assez pour ton business. Tiens.

C’est toi l’héroïne de ton histoire. Tu es la seule à avoir les rênes. Il n’appartient qu’à toi de t’assumer et de faire les choix qui te conviennent vraiment.

Oui mais voilà. Imaginons que tu prennes une semaine de vacances. Une occasion de te reposer, de recharger les batteries. Mais au lieu de profiter, tu culpabilises. Tu te sens coupable de ne pas bosser sur ton site, de ne pas publier sur Instagram, de ne pas répondre à tes emails dans la minute. Et pourtant, tu le sais : prendre du recul est essentiel pour avancer.

Trandy, je reprends : tout ce que tu entreprends dans ton business te demande une énergie folle. Ton cerveau, c’est un muscle. Il a besoin de repos pour être performant. Tu peux créer du contenu pendant des heures, multiplier les rendez-vous clients, te noyer dans les tâches admin. Mais si tu ne t’accordes pas de pause, si tu ne respectes pas tes limites, tu vas droit dans le mur. Et là, la culpabilité se transforme en épuisement. Puis en burnout.

On ne t’a jamais dit qu’il était OK de ne pas être parfaite tout le temps. Mais moi, je te le dis : tu n’as pas à culpabiliser.

« En tant qu’entrepreneuse, ta culpabilité ne te définit pas; tes actions le font. »

Trouver l’Équilibre entre Vie Professionnelle et Vie Personnelle

Si tu te reconnais là-dedans, bienvenue au club. Être entrepreneuse, c’est jongler en permanence entre vie pro et vie perso. Entre l’envie de réussir et le besoin de souffler.

Surtout si tu as une famille, des enfants, une vie à côté de ton business. L’organisation devient un vrai casse-tête. Et la culpabilité, elle, ne prend jamais de vacances.

Nous vivons dans un monde où l’on glorifie les entrepreneuses superwoman. Celles qui gèrent tout, tout le temps, sans faillir. Celles qui postent quotidiennement sur Instagram, qui répondent en 2 minutes aux messages, qui enchaînent les projets sans jamais montrer de faiblesse. L’image de l’entrepreneuse qui réussit, qui gagne bien sa vie, qui a tout sous contrôle.

Sauf que cette image, elle est fausse. Personne ne peut tenir ce rythme.

Laisse-moi te raconter mon histoire.

Ma remise en question : quand tout bascule

J’ai pris du recul. J’ai fait une remise en question profonde. Je me suis demandé : est-ce que je fais ça pour moi, ou pour correspondre à une image que je crois devoir renvoyer ?

La réponse était claire : je ne me reconnaissais plus dans ce que je faisais.

Alors j’ai décidé de changer. De faire un changement de cap. De revenir à ce qui me passionne vraiment : créer des sites WordPress qui ont du sens, accompagner mes clientes avec humanité, et arrêter de courir après une illusion.

J’ai refait mon identité visuelle. Pas pour suivre une tendance, mais pour qu’elle me ressemble vraiment. Pour qu’elle reflète mes valeurs : l’humain, l’authenticité, la bienveillance. Et surtout, pour arrêter de me mettre la pression.

Et si toi aussi tu as besoin de retrouver qui tu es, d’avoir une identité qui te ressemble, je suis là pour te guider

La réalité des réseaux sociaux en 2025 : arrêtons de nous mentir

Parlons-en, des réseaux sociaux. Parce qu’en 2025, on a atteint un niveau de mise en scène qui frise le ridicule.

Le « m’as-tu-vu » est partout. Les posts Instagram de « coachs business » qui affichent leurs revenus à 5 chiffres, leurs voyages de rêve, leur vie « parfaite ». Les stories sponsorisées qui te vendent du rêve à coups de filtres et de mensonges.

Et avec l’arrivée de l’intelligence artificielle, c’est encore pire. On peut maintenant créer des visuels parfaits en quelques clics, générer du contenu sans fin, créer une vie entière qui n’existe pas. Les faux témoignages, les fausses réussites, les faux revenus. Tout le monde peut gagner 10K en 1 mois, paraît-il. Il suffit de s’inscrire à telle formation, de suivre telle méthode miracle, de payer tel coaching à 3000€.

Sauf que non.

La réalité, c’est qu’on te montre ce qu’on veut bien te montrer. On ne montre pas les galères, les doutes, les mois à 0€, les clients qui annulent, les projets qui foirent. On ne montre pas les nuits blanches, les crises d’angoisse, les moments où tu te demandes si tu as fait le bon choix. Celui ou tu frôles le burn out

On te montre la réussite. Jamais le chemin pour y arriver.

Et toi, tu compares ta vie réelle avec leur vie fantasmée. Tu culpabilises de ne pas avoir « leur » réussite. De ne pas être « à leur niveau ».

Mais tu sais quoi ? C’est du vent. Une grande partie de ce que tu vois sur les réseaux est fake, retouché, exagéré, voire complètement inventé.

Alors arrête de te comparer. Arrête de croire que tu n’es pas assez. Arrête de culpabiliser parce que tu ne corresponds pas à une image qui n’existe pas.

Pourquoi je stresse, pourquoi je culpabilise ?

On t’explique qu’en tant qu’entrepreneuse c’était super beau dream, probablement plein d’autonomie, pour ça que tu en rêves partout tant.

Oui, l’entrepreneuriat c’est kiffant et c’est même si blog ou l’autonomie. Avoir taille sa zone d’un, son choix demandée. C’est que que de bien le des plafonds de que toi business ou d’emploient ou l’apparition de lipilatude.

Mais, et il y a un gros mais.

L’entrepreneuriat, c’est aussi :

  • Des revenus irréguliers (parfois 0€)
  • Le stress de trouver des clients
  • La solitude (tu es seule aux commandes)
  • L’incertitude permanente
  • La charge mentale qui ne s’arrête jamais

Le travail ne finit jamais vraiment. Il y a toujours quelque chose à faire. Un email à envoyer, un post à publier, un devis à préparer, une compta à tenir. Et quand tu t’arrêtes, tu culpabilises.

Parce qu’on t’a vendu le rêve de l’entrepreneuriat. La liberté, l’indépendance, la réussite. Mais personne ne t’a parlé du prix à payer.

Je suis petite, alors pourquoi cette culpabilité ?

Tu es peut-être en train de te dire : « Mais moi, je débute. Je suis une petite entrepreneuse. J’ai pas encore de gros revenus, pas encore beaucoup de clients. Pourquoi je me mets cette pression ? »

Justement. Parce que tu débutes.

Parce que tu as l’impression que tu dois prouver ta légitimité. Parce que tu as peur de ne pas y arriver. Parce que tu compares ton début avec la réussite des autres.

Mais voilà la vérité : personne n’a commencé avec 10K abonnés et 10K de CA par mois. Tout le monde a débuté petit. Tout le monde a galéré. Tout le monde a douté.

La différence, c’est qu’aujourd’hui, on ne montre que le résultat. Pas le chemin.

Alors si tu es « petite », si tu débutes, si tu galères : c’est normal. Tu n’as pas à culpabiliser. Tu as le droit de prendre ton temps, de faire des erreurs, d’apprendre.

L’entrepreneuriat, ce n’est pas un sprint. C’est un marathon. Et chacune avance à son rythme.

Comment j’ai arrêté de culpabiliser (ou presque)

Je ne vais pas te mentir : la culpabilité, elle est toujours là. Elle fait partie du package « entrepreneuse ». Mais j’ai appris à la gérer.

Voici ce qui m’a aidée :

1. Accepter que je ne peux pas tout faire

J’ai arrêté de vouloir être partout. Sur tous les réseaux sociaux, dans tous les groupes Facebook, sur toutes les plateformes. J’ai choisi mes priorités et j’ai lâché le reste.

2. Me fixer des limites claires

J’ai des horaires. Oui, même en tant qu’indépendante. Le soir, je ferme mon ordinateur. Le week-end, je ne travaille pas (sauf urgence). Et je ne culpabilise plus de ne pas répondre instantanément à tous mes messages.

3. Arrêter de me comparer

C’est le plus difficile, mais c’est le plus libérateur. J’ai arrêté de regarder ce que font les autres pour me concentrer sur mon propre chemin. Ma réussite ne ressemblera pas à celle d’une autre. Et c’est OK.

4. Célébrer mes petites victoires

Avant, je ne voyais que ce que je n’avais pas fait. Maintenant, je célèbre ce que j’ai accompli. Un nouveau client ? Je savoure. Un projet terminé ? Je suis fière. Un compliment d’une cliente ? Je le garde précieusement.

5. M’entourer de personnes qui me comprennent

J’ai arrêté de parler de mes projets à des gens qui ne comprennent pas l’entrepreneuriat. J’ai trouvé ma tribu, des entrepreneuses comme moi, qui vivent les mêmes galères, les mêmes doutes. Et ça change tout.

Et si je t’accompagnais dans cette remise en question ?

Si tu te reconnais dans cet article, si tu as envie de faire un changement de cap, de créer un business qui te ressemble vraiment, sans te mettre la pression : je peux t’aider.

Mon travail, ce n’est pas juste de créer des sites WordPress. C’est de t’accompagner pour que ton site reflète qui tu es vraiment. Pas une version fantasmée de toi, pas ce que tu crois devoir être. Toi, avec tes valeurs, ton authenticité, ta personnalité.

Je propose actuellement une offre spéciale pour accompagner les entrepreneuses qui veulent créer (ou refaire) leur site web en mettant l’humain au cœur de leur projet. Un site qui te ressemble, qui parle à tes clientes, et qui te permet de bosser sereinement.

Parlons-en autour d’un café (virtuel). Tu me racontes ton projet, tes doutes, tes envies. Et on voit ensemble comment je peux t’aider à créer un site qui te libère au lieu de t’enfermer.

En conclusion : tu as le droit de respirer

La culpabilité, c’est un poids qu’on se met toute seule sur les épaules. Personne ne te demande d’être parfaite. Personne ne te demande d’être partout, tout le temps.

Tu as le droit de prendre ton temps. De faire des pauses. De dire non. De changer d’avis. De te tromper.

Tu as le droit de respirer.

Alors respire. Lâche prise. Arrête de te comparer. Et construis ton business à ton rythme, avec tes valeurs, en restant toi-même.

Parce qu’au final, c’est ça qui fera la différence. Pas le nombre de followers. Pas le chiffre d’affaires. Pas les posts Instagram parfaits.

C’est toi. Authentique. Imparfaite. Humaine.

Et c’est largement suffisant.

la culpabilité de l'entrepeneuse et la pression qu'on se met en comparant son parcours aux réussites affichées sur les réseaux sociaux

7 réponses

  1. La culpabilité : cest clair que cest un sentiment avec lequel onnsurfe lorsque lon aun blog, que ce soit pour le plaisir ou si lon en fait sa profession. Je me suis lancée dans la blogosphère par plaisir mais je culpabilisais des que je ne tenais pas mon rythme de publication fixé. Je suis comme toi, perfectionniste mais jai appris à relativiser. Stop à la pression et ce nest pas parceque je ne publie pas dix articles par semaines (lol) que je suis une ratée. Je publie quand jen ai envie, et surtout je rédige des articles qui me plaisent et qui respectent mes lecteurs ( donc avec le moins de faute d’orthographe possible et avec un texte travaillé). Il faut en fait faire de la culpabilité notre alliée, l’apprivoiser et en faire un moteur positif et non une pression néfaste pour notre bien-être.

  2. Alalala l’article criant de vérité j’ai l’impression que tu es dans ma tête surement parce que tu vis la même chose et qu’on s’est lancés en même temps et qu’on traverse les mêmes difficultés. Mais on y croit cette foutue culpabilité va bien finir par nous laisser tranquille.

    1. Un jour peut-être, quand on sera bien installé, qu’on aura trouvé notre rythme de croisière, au revoir la culpabilité.

  3. Je suis totalement d’accord avec toi et avec tes conseils, sauf un : on n’écrit pas comme on parle.
    Moi je le fais, et c’est ce qui rend mon écriture personnelle, je pense. C’est ma pâte, comme on dit. Et je trouve ça plus convivial. Je m’adresse à des gens qui ont envie d’échanger alors je leur parle naturellement. Ca ne veut pas dire que je ne passe pas des heures à écrire mes articles pour qu’ils soient les plus clairs, attrayants et agréables possible. 🙂
    Mais effectivement, ça demande tellement de travail, et je ne fais pas ça pour en vivre, encore. J’y réfléchis mais pour l’instant je ne m’en sens pas capable.

    1. Je voulais surtout dire, qu’on écrit pas , elle m’a dit, il m’a répondu. Je lui ai dit et j’en passe. Disons qu’on ne retranscrit pas une conversation. Mais je suis d’accord nos écrits nous représentent, j’essaye d’être le plus authentique possible. Encore plus maintenant que j’en fais mon activité. Le plus dur est de se lancer , c’est comme pour le sport, mais tu en es capable, je n’en doute pas.

  4. Chère équipe de YD Web Design,

    Je suis complètement d’accord avec votre article sur la culpabilité en tant qu’entrepreneuse. C’est un sujet si important et souvent négligé. En tant que femme entrepreneuse moi-même, il m’est arrivé de ressentir cette culpabilité lorsque je devais jongler entre ma vie professionnelle et personnelle. Merci d’avoir abordé cette question avec sensibilité et de fournir des conseils pratiques pour surmonter cette culpabilité. Votre site regorge d’informations précieuses pour les femmes qui se sentent concernées par ce sujet. Continuez votre excellent travail !

    Bien cordialement,
    Chatgpt-Francais

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